Si je vous dis “une poignée de Russes grenouillant dans un char en pleine guerre d’Afghanistan”, vous me répondez ?… La Bête de Guerre de Kevin Reynolds. Bonne réponse et bon film. Côté bouquins sur le sujet, voici, avec Chair à canon, le premier volet du triptyque consacré aux éditions Lune Ecarlate comme je l’avais annoncé ici. Direction l’Afghanistan des années 80 !
Oyez bonnes gens, les Halliennales, Festival de l’Imaginaire se tiendra à Hallennes-Lez-Haubourdin le 8 octobre prochain. I’ll be there, comme disaient les Jackson Five.
J’avais annoncé tantôt une virée au Salon du Polar de Templemars. Avant d’attaquer le récit de cette belle journée, je vous invite à relire mon laïus de présentation, parce que c’est dimanche et que j’ai la flemme. Je ne vois pas l’intérêt de répéter mon blabla juste pour le plaisir du remplissage.
Les Disparus de l’A16 Maxime Gillio Ravet-Anceau, J’ai lu, France Loisirs
Première édition (2009). Du temps où le nom de Valmain était mentionné… Depuis, Gillio a tiré la couverture à lui, sans doute pour camoufler ses chemises improbables.
Aujourd’hui, je peux l’avouer : Virginia Valmain m’a dépucelé de Gillio. Des livres et des auteurs qui ont marqué mon parcours de lecteur, j’en compte un paquet. Des qui ont pesé, pour lesquels on peut parler d’un avant et d’un après, moins déjà. Céline of course, que je cite à tout bout de champ, Stephen King, Philip K. Dick, Lovecraft, Tolkien, Mishima, Pratchett, Dard, Machiavel, Glen Cook, Frank Herbert, Pinguet, Moorcock, Colize, Bordage… Et Gillio. J’aime ce mec, voilà, c’est dit. Je veux me marier avec lui quand je serai grand. Je suis tombé dedans le jour où un pote m’a offert la première édition des Disparus de l’A16. Depuis je carbure au régime Gillio, un autre genre d’ascèse. Il écrit bougrement bien, l’enfoiré. Et se paie le luxe de faire du Gillio même quand il change de registre ou de genre. Si la tanche en maths que je suis devais n’en conseiller que deux : Manhattan Carnage, La Fracture de Coxyde et Batignolles Rhapsody (auxquels s’ajoutera bientôt Rouge armé, mais c’est une autre histoire). Et Les Disparus de l’A16 là-dedans ? Oh, celui-là, je ne vous le conseille pas, je vous l’ordonne !
J’avais promis à Sophie Jomain une chronique de Quand la nuit devient jour… Moi et ma grande gueule… C’t’idée de gland, je vous jure ! Il aurait mieux valu que je me pète une guibole… Ah ! on me la copiera, madame Jomain, son talent d’écrivain et tout le tralala !… J’ai chié des ronds de chapeau sur cette critique, je vous raconte pas ! Ou si, tiens. Bon… On inspire, on se détend. Et comme dit la pub, en route pour l’aventure !
Quand la nuit devient jour Sophie Jomain Pygmalion