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Dans un univers parallèle, le monde entier envie mon talent pour le dessin. Dans cette réalité-ci… hum… faut croire que c’est le cas aussi. Il y a même des gens pour m’en demander (fuyez, pauvres fous !). On vit une drôle d’époque… ‘Fin bon, je suis comme les Aztèques : j’ai le cœur sur la main (le cœur de qui, ça, c’est une autre histoire…). Voici Héloïne, l’héroïne de la trilogie Phitanie (pif, paf, pouf) de Tiphaine Croville.
Felicity Atcock fait peau neuve chez Rebelle avec de nouvelles couvertures (que je trouve très miam miam, au point de regretter l’achat de la série en version poche et fanfreluches chez J’ai Lu). Comme je suis moi, je n’ai pas pu m’empêcher de travailler (sic) à deux versions alternatives pour Les anges mordent aussi.
“Spécialiste de la littérature vampirique”, dixit la quatrième à propos de Caussarieu. Le fait est que sa biblio regorge de vampires. Chéloïdes, le seul bouquin d’elle que j’ai lu, est aussi le seul à n’en comporter aucun. Qu’est-ce que tu veux ?… C’est un talent, mon pouvoir de super-zéro : toujours en dehors des clous. En même temps, c’est logique, je suis une bille en bricolage.
Si je te dis “à chaque édition sa polémique”, tu me réponds…? Salon du livre de Paris. Gagné ! Tu repars avec ce magnifique pot de vaseline et un bisou magique entre les fesses. Plus sérieusement – et ça ne va pas être difficile – faut reconnaître que ce salon se démarque par deux choses : 1) son bad buzz annuel, 2) ledit buzz est chaque fois justifié. Cette année, la grogne concerne la rémunération de certains intervenants. Ou plutôt son absence. Motif avancé par le salon jupitérien : ça fait de la pub aux auteurs de donner une conférence, ils sont donc bien assez payés en visibilité. Faut croire que tout le pognon passe en frais de moquette, fumée et refumée par les organisateurs. Forcément, ça coûte à remplacer, donc payer les intervenants, c’est pas trop la priorité. Pour le détail de la chose, je te renvoie à cet article d’Actualitté qui fait le tour de la question et m’épargne une fastidieuse paraphrase. Si tu veux élargir (c’est dans le ton…), quelques articles là. Si tu as la flemme de lire, Yeah Cy. t’explique tout en vidéo. Et si veux réagir, tu cherches #PayeTonAuteur sur les réseaux sociaux, tu auras l’embarras du choix.
Le Diable se cache dans les détails.
Vu que le design du site du salon semble appeler à la grève générale des auteurs et des visiteurs – en tout cas, c’est comme ça que j’interprète le rouge et noir – je t’invite à suivre le mouvement. Ou plutôt à ne pas bouger. Reste chez toi du 16 au 19 mars. Mieux encore, va baguenauder dans un autre salon, un qui ne rackette pas les visiteurs avec une entrée hors de prix et qui traite ses auteurs mieux que ses plantes vertes.
#PayeTonAuteur #çateferadelapub #stopLaMoquette
Livre Paris semble croire que les auteurs vivent d’amour et d’eau fraîche, il se trouve que c’est aussi le cas des plantes vertes. Partant de là, si on paye les plantes, on paye les auteurs. CQFD.
— Tu vois, le monde des conteurs se divise en deux catégories. Les tout pourris, comme Linky, d’ailleurs ça rime et c’est un signe. Et les bonnes histoires d’aventures médiévales avec des conteurs itinérants. — Attends, Blondin, compteur et conteur, ça s’écrit pas pareil. — N’oublie pas que c’est moi qui ai le pistolet chargé. Toi, tu creuses, Tuco, tu creuses…
Les Haut-Conteurs Origines Le songe maudit Patrick Mc Spare Scrineo