J’avais promis à Sophie Jomain une chronique de Quand la nuit devient jour… Moi et ma grande gueule… C’t’idée de gland, je vous jure ! Il aurait mieux valu que je me pète une guibole… Ah ! on me la copiera, madame Jomain, son talent d’écrivain et tout le tralala !… J’ai chié des ronds de chapeau sur cette critique, je vous raconte pas ! Ou si, tiens. Bon… On inspire, on se détend. Et comme dit la pub, en route pour l’aventure !
Quand la nuit devient jour Sophie Jomain Pygmalion
Nicolas le Petit, ex-Président de la République, nous offre ces jours-ci une formidable leçon d’Histoire : “Dès que vous devenez français, vos ancêtres sont gaulois. J’aime la France, j’apprends l’histoire de France, je vis comme un Français, doit se dire celui qui devient français.” Consternant de bêtise. De la connerie en branche. L’Histoire de France, il n’a pas dû l’apprendre, lui, ou alors dans un manuel de 1880. D’autres s’en chargent déjà, je m’épargne et vous épargne la longue diatribe sur le bonhomme en particulier ou la classe politique en général. Chaque fois qu’ils l’ouvrent sur la chose historique, y a une ânerie à la clé. Inculture effarante pour un pays aussi alphabétisé et scolarisé… tentation d’un roman national plein de grosses ficelles que même à Hollywood on n’en voudrait pas… interprétations délirantes, glorifications douteuses, silences sur les petites ou grosses saletés du cursus françois… propos qu’on qualifierait volontiers de révisionnistes en mauvaise part dans la bouche d’historiens… Je crois qu’il faut tout simplement laisser la parole aux historiens dans ce domaine, puisque c’est le leur… et aussi parce que certains d’entre eux portent une part de responsabilité dans ces histoires gauloises. Ce que je vais faire de ce pas.
J’avais chroniqué tantôt Été pourri à Melun Plage, je viens de voir que Nicolas Duplessier me citais sur la bannière de sa page Facebook (la quatrième en partant du haut ou la première en partant du bas). C’est pas encore l’étoile sur Hollywood Boulevard ni l’entrée au Panthéon, mais c’est un premier pas. “Und morgen die ganze Welt”, comme dit la chanson. Trêve de plaisanterie, ça fait plaisir de voir qu’on ne pond pas des chroniques dans le vent. Merci, Nicolas, et rendez-vous à la buvette de Templemars.
Oyez bonnes gens, le Salon du Polar de Templemars se tiendra le 24 septembre prochain. J’y suis allé 3-4 fois déjà et d’expérience, il vaut le détour. A priori, je devrais y retourner cette année.
“Tout est relatif”, disait Bébert en son temps. Oui, tout, à commencer par la paternité de l’expression qui revient à Comte. La chambre des morts est un bon roman… plus ou moins bon selon comment on l’aborde. Bienvenue dans la théorie de la relativité littéraire.