Lego et cinéma font bon ménage, en témoigne le catalogue de la firme qui redéfinit la notion de licence entre Harry Potter, Star Wars, Marvel, DC, Jurassic World, feue les gammes Seigneur des Anneaux et Pirates des Caraïbes, ainsi que je ne sais combien de boîtes unitaires collector (Ghostbusters, Retour vers le futur, etc.).
Il n’y avait donc pas de raison pour ne pas m’y mettre à mon tour. Et alors attention, y a du budget hollywoodien dans l’air : je viens de palper cent briques et toucher dix plaques.
Ayant un faible pour les robots de combat – traumatisme de jeunesse lié à Goldorak – je vous présente ED-209, le flic qui ne peut pas emprunter les escaliers tout droit sorti de Robocop.
À noter que je cherche toujours un volontaire pour tester son efficacité. Ça devrait mieux se passer que dans la scène d’origine.
Autre souvenir de jeunesse, Elvira, qui a marqué mon adolescence via le film Elvira, Maîtresse des Ténèbres et le jeu vidéo (auquel je n’ai jamais joué, c’est surtout les pubs dans les magazines de jeux vidéo qui ont frappé mon esprit, mes yeux et ma main droite).
Un petit Chuck Norris tout droit sorti de l’affiche d’Invasion USA.
La rencontre au sommet de deux monstres sacrés, icônes du noir, parce que c’est classe et ça va avec tout : Dark Vador et le xénomorphe de la saga Alien.
Dans la foulée, petit diorama de la fameuse scène de la découverte des œufs dans Alien, le huitième passager.
Autre créature iconique de l’espace : le yautja de la saga Predator.
Les canons de Navarone mais en plus petits. Et antiaériens plutôt que batterie côtière. Donc sans lien avec l’original en fait. Bref, une petite DCA bricolée pour passer le temps et qui atterrira sans doute dans la Batcave.
PS : pour d’autres Lego échappés du cinématographe, je vous renvoie à l’article spécifique sur Star Wars.