Tu te rappelles Le Label N de Jess Kaan ? Eh bien, on repart sur les traces de Luc Mandoline, dit Le Mariachi l’Embaumeur !
Concerto en lingots d’os
Claude Vasseur
L’Atelier Mosésu
Le blog d'imaginaire qui croise les effluves
Mon fonds de commerce, les chroniques de livres. Prévoyez du temps de lecture, j’aime les longs formats qui permettent d’entrer dans le détail d’une œuvre et en explorer toutes les facettes (intrigue, narration, style, personnages, univers, intentions de l’auteur…).
Tu te rappelles Le Label N de Jess Kaan ? Eh bien, on repart sur les traces de Luc Mandoline, dit Le Mariachi l’Embaumeur !
Concerto en lingots d’os
Claude Vasseur
L’Atelier Mosésu
Le couvent infernal
Ignacio Noé & Ricardo Barreiro
Dynamite
Après Vices et novices de Pitek, on s’offre une nouvelle retraite religieuse au Couvent infernal, une BD érotique de Noé et Barreiro avec du mythe de Cthulhu dedans, mais pas que, les sources d’inspiration de cet album étant nombreuses, du Nom de la Rose à L’Exorciste en passant par le hentai démonico-tentaculoïde (très Bible Black spirit avant l’heure).
Tu aimes les films sur gladiateurs ? les péplums ? les corps huilés des dieux et déesses en pleine orgie sur le mont Olympe ? Ou, telle Isis, tu préfères te lancer dans la quête du membre coupé d’Osiris, que d’aucuns qualifient d’ancêtre du godemiché ? Ça tombe bien, puisqu’aujourd’hui on va parler mythologie. L’égyptienne, la grecque et la romaine, le tiercé des classiques dans l’ordre.
C’est parti pour un bon gros coup de mythe !
Harry Potter et l’enfant maudit
J. K. Rowling, John Tiffany & Jack Thorne
Gallimard jeunesse
Cette nouvelle aventure du jeune balafré porte bien son titre. L’enfant maudit de la saga. Le volume de trop.
Pour fêter comme il se doit la montée de sève printanière, petit tour d’horizon de mes dernières lectures en matière de bande dessinée érotique avec Les folles nuits de Cryptée (Ardem), Les trois sœurs Darnum (Ardem), la série Angie (Chris), Quand Cupidon s’emmêle (Manunta) et Déviances (Muñoz).
Continuer la lecture de « Critiques express (41) Pas de l’art mais du cochon »