That’s a long way to hell
Marianne Stern
Livr’S
Un bouquin qu’on m’a offert au motif que dedans “il y a du hard rock et du heavy metal, ça va te plaire”. Ben non.
Continuer la lecture de « That’s a long way to hell – Marianne Stern »Le blog d'imaginaire qui croise les effluves
Mon fonds de commerce, les chroniques de livres. Prévoyez du temps de lecture, j’aime les longs formats qui permettent d’entrer dans le détail d’une œuvre et en explorer toutes les facettes (intrigue, narration, style, personnages, univers, intentions de l’auteur…).
That’s a long way to hell
Marianne Stern
Livr’S
Un bouquin qu’on m’a offert au motif que dedans “il y a du hard rock et du heavy metal, ça va te plaire”. Ben non.
Continuer la lecture de « That’s a long way to hell – Marianne Stern »J’ai ce bouquin depuis trente ans, je ne sais toujours pas si La Bibliothèque de l’Histoire est le titre de l’ouvrage ou le nom d’une collection qui ne serait jamais allée plus loin que ce volume consacré aux batailles et révolutions.
Dans tous les cas, il s’agit d’un ouvrage historique jeunesse. Avec les boobs de la Liberté en couverture ! Eh ouais, c’était ça, les années 80 !
La Bibliothèque de l’Histoire – Batailles et révolutions : les grands moments de l’Histoire mondiale
Massimo Grillandi & Vezio Melegari
Hachette
Pour prolonger l’esprit des fêtes de fin d’année, on va terminer l’hiver 2023 en abordant un sujet festif : la guerre. Feu d’artifice de la DCA, types enguirlandés dans les barbelés, pochettes-surprises plein les champs de mines, on se situe pile dans l’ambiance.
Quatre livres au menu de ce réveillon martial :
– deux versions du sujet “Guerre et société dans les mondes grecs à l’époque classique vous avez 4 heures l’usage de la calculatrice est interdit” (l’une de Jean-Noël Corvisier, l’autre dirigée par Patrice Brun) ;
– Histoire de l’armée romaine (Peter Connolly)
– Tsahal (Martin van Creveld).
Le prince d’Omeyya
Anthony Fon Eisen
Robert Laffont
Ce bouquin, je l’avais lu tout gamin, j’en avais gardé un bon souvenir. Ça donne quoi quarante ans plus tard ?
Continuer la lecture de « Le prince d’Omeyya – Anthony Fon Eisen »Robert Ludlum, c’est d’abord une poule aux œufs d’or. Quand même un des rares auteurs sinon le seul à avoir dans sa biblio plus de bouquins publiés post-mortem que de son vivant. Ses éditeurs s’en frotteraient les mains, si elles n’étaient pas déjà occupées à compter les biffetons que leur rapporte l’ami Bébert.
Si on ne peut pas nier à Ludlum un savoir-faire en matière de construction narrative, on ne peut non plus lui nier d’écrire plus ou moins le même bouquin à chaque fois. S’il ne fallait en retenir qu’un, ce serait La mémoire dans la peau, premier volet des interminables aventures de Jason Bourne et seul valable du lot. Tout Ludlum est dedans : espionnage, gentil héros solitaire en croisade contre le méchant reste du monde, manichéisme plein pot, brouettes de complots, magouilles, machinations, plans diaboliques, organisations secrètes, groupuscules mystérieux et hommes de l’ombre. Si tous les complotistes du monde se donnaient la main, ils n’arriveraient pas à la cheville de Bobby Ludlum.
On en arrive à La stratégie Bancroft, ultime ludlumerie publiée cinq ans après la mort de Robert dit “le Surcoté”, ultime aussi en termes de poil dans la main et d’autocaricature de sa production.
La stratégie Bancroft
Robert Ludlum
Le Livre de Poche