De la terreur plein les poches 2, le retour de la vengeance de la mort qui tue, avec un quintet consacré au vampire, créature omniprésente dans la collection rouge et noir de chez Pocket. Nosferatu revient et il n’est pas content.
Catégorie : Critiques express
Des bouquins sur lesquels je n’ai pas grand-chose à dire, mais je le dis quand même.
Terreur in the pocket (1)
De la terreur plein les poches… ou pas, avec ce premier volet consacré à quatre titres dispensables parus chez Pocket dans la fameuse collection rouge et noir :
– Soif de sang de Robert McCammon
– Le violon et Le lien maléfique d’Anne Rice
– Mr. X de Peter Straub
Summer is coming! Que lire cet été ?
Chaque année l’été revient avec une régularité de métronome, à croire que l’enchaînement des saisons relève du phénomène cyclique…
Avec lui fleurit le marronnier de “la sélection de lecture estivale”, ces conseils de bouquins que personne ne lira, trop occupé à nourrir son futur cancer de la peau en bronzant sous le cagnard des plages méditerranéennes.
Ce sujet-bateau, on peut le traiter à la manière de Elle et des feuilles de chou du même tonneau, en proposant une sélection qui ressemble moins à un guide de lecture qu’à un partenariat commercial avec des éditeurs pour caser les dernières parutions du catalogue, florilège de titres random, dépourvus de lien avec l’été, le soleil ou les vacances, que tu pourrais aussi bien lire au printemps, à l’automne ou dans ton cul.
Sinon, on peut essayer de la jouer moins mainstream et plus pertinent pour pondre une liste qui n’ait pas l’air de sortir d’un gros intestin.
Enfile tes sandales et un Mars, c’est parti pour la sélection à bibi autour des thèmes phares de l’été, avec pour chacun deux titres, l’un classique et l’autre plus inattendu.
Critiques express (36) Black is the new black
La grande force du roman noir dans la partie médiane du XXe siècle (années 30 à 70), c’était de brosser un monde en nuances de gris. Ce jeu sur le clair-obscur apparaît encore plus flagrant dans le film noir où la mise en scène repose beaucoup sur l’éclairage. La grande faiblesse du roman noir depuis une vingtaine d’années, c’est de bien porter son nom. Du noir, rien que du noir. Le genre est devenu encore plus monolithique que le manichéisme noir/blanc dont il cherchait à s’éloigner à ses débuts. Ne restent que les ténèbres, sans zones d’ombre possibles, faute d’un peu de lumière pour projeter lesdites ombres.
Au menu du jour :
– Les cœurs déchiquetés (Hervé Le Corre)
– Le passager (Jean-Christophe Grangé)
– Dors ma jolie (Mary Higgins Clark)
– Ce monde disparu (Dennis Lehane)
Critiques express (35) Une touche d’histoire
L’Histoire est et restera le meilleur (pour ne pas dire l’unique) terreau en matière d’écriture.
Et je ne dis pas ça parce que je suis historien de formation.
Ou peut-être que si…
Tiercé du jour :
– Les secrets du Vatican (Bernard Lecomte)
– Meurtre sur le Grandvaux (Bernard Clavel)
– Messieurs Ma, père et fils (Lao She)
– Blonde (Joyce Carol Oates)
(Oui, je sais, quatre, ça fait beaucoup pour un tiercé, mais c’est mon côté Alexandre Dumas…)
Critiques express (34) Sitôt lus, sitôt oubliés
Y a des bouquins qui marquent, d’autres qui se démarquent. Pis y en a aussi qui ressemblent à des ardoises magiques. Tu les lis, tu secoues un peu et il n’en reste rien, limite si tu te rappelles le titre. Parfois, t’es même plus sûr de les avoir lus, c’est dire s’ils sont dispensables.
Au menu :
– La cathédrale de haine (Guy des Cars)
– Les apparences (Gillian Flynn)
– Si je te retrouvais (Nora Roberts)
– Mako (Laurent Guillaume)
– Pavillon 38 (Régis Descott)