Le Pétard Express est à quai sur la voie 69¾, prêt à nous embarquer pour une virée dans la bande dessinée érotique. C’est parti pour une aventure graphique sous le signe du voyage, de l’exotisme, des vacances et de la double pénétration.
Continuer la lecture de « Critiques express (46) Une aiguille dans une botte de fions »Catégorie : Critiques express
Des bouquins sur lesquels je n’ai pas grand-chose à dire, mais je le dis quand même.
En marge du Mythe de Cthulhu
Parce que le mythe de Cthulhu ne se limite à son inventeur Howard Phillips Lovecraft, on va l’aborder par la bande avec le jeu de rôle L’Appel de Cthulhu (Sandy Petersen), Le vampire du stade Bollaert (Jean-Christophe Macquet), L’embarquement pour Arkham et Retour à Arkham (Robert Bloch).
Continuer la lecture de « En marge du Mythe de Cthulhu »Critiques express (45) Le jeu de l’amour et du braquemart
Quand j’étais en classe de seconde, il avait fallu se farcir Le jeu de l’amour et du hasard de Marivaux. Ça m’avait barbé. Comme toutes les pièces de théâtre endurées au collège et au lycée, pour cause d’enseignement hyper académique. De ma scolarité, je n’ai qu’un bon souvenir lié au théâtre : en 1989, notre professeure de français avait emmené la classe voir Le Bourgeois gentilhomme et à un moment de la représentation Valérie Mairesse montrait ses seins. Ça m’avait marqué, je me souviens de cet instant comme si c’était hier…
Continuer la lecture de « Critiques express (45) Le jeu de l’amour et du braquemart »Miyamoto Musashi
Je pourrais bloguer dix ans sur le sujet sans en voir le bout, tellement le bonhomme a inspiré de romans, essais, mangas, films, séries, dessins animés…
J’en ai retenu une poignée :
– un vieux numéro de Dragon Magazine
– le diptyque de Yoshikawa Eiji (La pierre et le sabre et La parfaite lumière)
– La Voie du Sabre de Thomas Day
– l’essai éponyme de Tokitsu Kenji
– le jeu de rôle Le Livre des Cinq Anneaux
Critiques express (44) Les vingt culs écrivent l’Histoire
On dit souvent que les vainqueurs écrivent l’Histoire. C’est vrai la plupart du temps. Il y a pourtant un cas archi connu où les vaincus l’ont réécrite à leur sauce, il s’agit de la Wehrmacht, dont beaucoup d’anciens pontes ont écrit leurs mémoires (Heinz Guderian, Erich von Mannstein, Franz Halder) et collaboré avec les historiens… qu’ils ont embobinés bien comme il faut avec le mythe d’une armée aux mains propres, exemptes de crimes de guerre qui n’auraient été commis que par les SS. L’historien allemand Bernd Wegner parle d’une “historiographie des vaincus”, c’est dire si la supercherie a fonctionné.
Le rapport avec les bouquins dont on va parler ? Aucun. C’était juste manière de rebondir sur le jeu de mot du titre de l’article.
Or donc, de la BD érotique, sans vainqueurs ni vaincus, mais avec de l’Histoire dedans, celle avec un grand H (et un petit Q), parce qu’on en chercherait une en vain, d’histoire, vu que la plupart du temps y a pas de scénario qui tienne la route.
Critiques express (43) Raid sur la PAL
Une première cette année : ma pile à lire a vu plus de sorties que d’entrées ! Ce qui signifie que peut-être un jour j’en verrai le bout et que peut-être un jour je finirai par lire le plus ancien bouquin qui y zone (depuis 2011, ça ne rajeunira personne). Cela dit, on n’y pas encore, il reste du boulot… M’enfin, v’là déjà quatre titres arrivés chez moi entre 2016 et 2019 et désormais évacués de la PAL (avant d’être évacués tout court, puisqu’ils sont partis dans le carton des livres à offrir).
Or donc, en ce jour, mes yeux de lynx passent en revue :
– Les Els (H. Roy)
– Comme l’Obsidienne (Vania Prates)
– La brûlure des anges (Pierre Gaulon)
– Destins brisés (Christelle Mercier)