L’Ange du KO

Détournement de couverture L'ange du chaos KO Michel Robert par Un K à part
Avant, on l’appelait l’ange du Chaos.

J’étais parti pour chroniquer deux bouquins de Michel Robert, auteur de la série L’Agent des Ombres. Puis je me suis rendu compte qu’on était le 8 mars, journée internationale de la femme (ou des femmes, ou des droits des femmes, ou de la lutte pour les droits des femmes). Alors je me suis dit trois choses :
1) Le libellé s’allonge chaque année, preuve que, quel que soit le groupe humain auquel tu appartiens, l’obsession d’en avoir une plus longue est universelle.
2) Si l’énergie dépensée à pinailler sur l’intitulé l’était dans les droits en question, on aurait peut-être avancé sur deux ou trois trucs plus constructifs.
3) Concernant la chronique, j’ai préféré la reporter à demain : je me voyais mal poster deux roberts aujourd’hui.

Trois pour le prix d’un

En partant du design de la série Sainte Marie des Ombres, j’arrive à Jabba le Hutt. Parce que l’auteur s’appelle Dabat et que je n’ai honte d’aucun calembour.

Détournement Jabba le Hutt Sophie Dabat par Un K à part
Dabat vs Jabba

Le rasoir d’occase, c’est comme la théorie du rasoir d’Ockham mais en plus rigolo. Le vrai D’occase, j’en ai parlé .

Détournement Le rasoir d'occase Marc Falvo par Un K à part
Falvo vs Guillaume

Ma fille voulait mettre son doigt dans le nez des autres du sieur Gillio sort le mois prochain. Il y sera question de sa fille autiste, fascinée par les tarins.

Détournement Nez de Voldemort par Un K à part
Gillio vs Voldemort

Clockwork Orange

Détournement Orange mécanique Donald Trump par Un K à part

À signaler, la réédition aux éditions FdP du classique d’Anthony Bourfess.
L’histoire d’un androïde affecté par l’agent orange et entraîné dans l’affaire du Watercolgate. Ouvrage puissant dont le thème central s’articule autour de la lutte entre IA et SN (intelligence artificielle / stupidité naturelle).

Journal d’un marchand de coke

Détournement Journal d'un marchand de rêves Anthelme Hauchecorne Pablo Escobar coke par Un K à part

On se souvient de Walter Krowley qui, dans le Journal d’un marchand de rêves, sniffait le sable de Doowylloh pour booster son inspiration.
Le romancier colombien Pablo Escobar (RIP, l’ami) propose une version alternative de l’excellent roman d’Anthelme Hauchecorne. Un what if original qui part d’une idée certes peu crédible mais bien menée : et si à Hollywood les gens se fourraient de la coke plein le pif ?
Paru aux Presses du Rail, voilà un très bon bouquin qui sait faire parler la poudre !