J’étais parti pour chroniquer deux bouquins de Michel Robert, auteur de la série L’Agent des Ombres. Puis je me suis rendu compte qu’on était le 8 mars, journée internationale de la femme (ou des femmes, ou des droits des femmes, ou de la lutte pour les droits des femmes). Alors je me suis dit trois choses :
1) Le libellé s’allonge chaque année, preuve que, quel que soit le groupe humain auquel tu appartiens, l’obsession d’en avoir une plus longue est universelle.
2) Si l’énergie dépensée à pinailler sur l’intitulé l’était dans les droits en question, on aurait peut-être avancé sur deux ou trois trucs plus constructifs.
3) Concernant la chronique, j’ai préféré la reporter à demain : je me voyais mal poster deux roberts aujourd’hui.