Le blog d'imaginaire qui croise les effluves
Un nom qui pète pour désigner un fourre-tout de trucs inclassables ailleurs.
Une célèbre citation dit qu’on peut tout faire avec des baïonnettes sauf s’asseoir dessus. Avec des Lego, on peut vraiment TOUT faire.
Comme passer des mois sur un projet dantesque de plusieurs milliers de pièces pour un résultat à tomber par terre.
Ou, en cinq minutes et avec sept briques, réaliser un MOC tout simple, qui troue le cul aussi, mais pas de la même façon.
Char iconique de la Seconde Guerre mondiale, même s’il n’en mérite pas tant, le Tigre a connu chez Cobi un paquet d’éditions dans à peu près toutes les couleurs possibles, du sable de l’Afrique au blanc neigeux du front russe, en passant par les bariolages à base de brun, kaki et vert pour être à la mode en demi-saison ou frimer l’été venu dans le bocage normand. Je l’ai en noir, enfin gris très, très foncé presque noir, dunkelgrau comme disent les Teutons.
Avec un titre pareil, on s’attendrait à voir ma biographie adaptée au cinéma, mais non il s’agit du roman de Richard Matheson mais en (beaucoup) moins bien.
Au menu de cet épisode, la salle de musique, qui vient boucler le corps de bâtiment principal de la Batcave. C’est donc un tournant dans l’histoire de ce chantier, puisque si je n’avais pas étendu la construction au rythme de ma folie des grandeurs, elle serait aujourd’hui terminée avec l’arrivée de cette ultime pièce.
Continuer la lecture de « Construction de la Batcave Lego – épisode 16 »Deux films pour le prix d’un : On l’appelle Trinita et On continue à l’appeler Trinita, réalisés coup sur coup par Enzo Barboni en 1970 et 1971.
Attention, c’est gras et ça tache.
Épisode pas mal chargé niveau architectural avec deux nouvelles salles au compteur : la cuisine et le saloon !
