2021 vit ses derniers jours, on va donc rester dans l’ambiance avec un recueil de nouvelles où la mort est omniprésente.
Tout est fatal
Stephen King
Le Livre de Poche
Le blog d'imaginaire qui croise les effluves
2021 vit ses derniers jours, on va donc rester dans l’ambiance avec un recueil de nouvelles où la mort est omniprésente.
Tout est fatal
Stephen King
Le Livre de Poche
Les Éternels… Sans doute la licence la plus conne de chez Marvel. Mélange d’évhémérisme et de SF, elle met en scène une bande de guignols affublés de pouvoirs divins… ce qui n’a aucune espèce d’intérêt, puisque passé un certain seuil de puissance, un personnage devient incapable de susciter la moindre tension dramatique, la réussite de ce qu’il entreprend étant automatique. Sauf à créer des enjeux tellement maousses qu’ils en deviennent trop énormes à appréhender… ce qui ne crée pas davantage d’intérêt. Pire que tout, le seul frein au grosbillisme que les scénaristes ont trouvé est un nerf à deux ronds : l’interdiction pour les Éternels d’intervenir dans les affaires humaines. On a donc des gens bardés de pouvoirs, qui n’ont pas le droit d’utiliser leurs pouvoirs. Ben ça valait le coup de leur filer toute une panoplie de capacités fumées… Pour faire ça, autant mettre en scène des gugusses sans pouvoir, ce sera toujours mieux que des pseudo-divinités condamnées à se tourner les pouces.
La sortie d’un film consacré aux Éternels a poussé Lego à sortir quelques boîtes sur le sujet, dont “À l’ombre d’Arishem” (76155) qui est la seule potable du lot.
“Tu l’as voulu, ouais tu l’as eu, un grand coup dans ton cul”, chantait en son temps le groupe de hip-hop MC Warriors. Hommage à ces aventuriers de la spéléologie.
Continuer la lecture de « Critiques express (39) Un grand coup dans ton cul »Le dernier jour de la Création
Wolfgang Jeschke
Denoël
Quand des archéologues découvrent une vieille Jeep dans une forteresse médiévale et que la relique de saint Vit se révèle être un tube en plastique, le coup fourré temporel n’est pas loin (et l’humour tout proche).
Et pour cause, les États-Unis ont envoyé dans le passé un contingent pour pomper les réserves de pétrole du Moyen-Orient et les transférer dans leur sous-sol.
En ce 2 décembre, il me paraît de bon ton d’évoquer un roman qui se déroule pendant la période napoléonienne.
Les voies d’Anubis
Tim Powers
J’ai lu
Le titre original du film ne l’est pas vraiment : 괴물 (Gwoemul) signifie monstre. Pour un film de monstre, on a vu plus imaginatif, mais au moins le choix du nom atteint une pertinence inégalable.
The Host, c’est l’histoire de la famille Hee-bong : le père (Park), les enfants (Gang-du, l’aîné immature ; Nam-joo, championne de tir à l’arc ; Nam-il, le cadet chômeur) et la petite-fille Hyun-seo… qui se fait enlever par une bestiole tentaculaire surgie du fleuve. Le reste de la bande n’aura de cesse de la sauver, telle une improbable Agence Tous Risques familiale.