L’édition 2019 d’Atrebatia Escales imaginaires était restée dans les annales, celle de 2020 prendra le même chemin une fois le récit de cette formidable aventure gravé dans le marbre des internets et porté à la connaissance du monde. C’est-à-dire maintenant.
Alors en route pour les annales ! comme dirait Roxy Raye, maman spirituelle du côté obscur du blog. Et bonne chance !
En chasse ! – Jess Kaan
Quoi de plus noble que la chasse ? Y a-t-il activité qui permette davantage à l’être humain de s’accomplir ? L’art cynégétique ne représente-t-il pas par excellente la dualité et la contradiction humaines, entre pantalon vert olive assurant une fusion parfaite dans l’environnement et gilet orange inventé par ce maître du camouflage que fut André Bile, dit “Dédé” ?
Parce que c’est quoi, la chasse ? La communion de l’Homme avec la Nature. Le premier finit la journée avec de la boue plein les godasses tandis que la seconde se pare d’un chapelet de canettes vides, ornement précieux qu’elle conservera sur son sein terreux des dizaines d’années durant.
La chasse, c’est aussi ce rapport agonistique entre le règne humain et le règne animal. Antagonisme à armes presque égales, un peu bourru, certes, mais non dépourvu de cet esprit poétique si cher à Clint La Fontaine, sur l’air de “la raison du plus fort est toujours la meilleure quand on a un pistolet chargé, toi, tu creuses”.
La chasse, enfin, c’est cet esprit communautaire empreint d’une camaraderie avinée et consanguine. La nuit s’achève enfin dans le souffle des eaux1 que le petit groupe s’ébranle pour son épopée champêtre, la fleur au fusil, les sens étourdis par la lumière de l’aube naissante et le son jovial des blagues racistes. L’escouade est soudée, sauf Marcel qu’est un sale con, le gros Jeannot dont tu t’es tapé la femme, Bébert qui s’est tapé la tienne et Nanard qui tire toujours la gueule depuis que son fils Brandon s’est fait faucher par une volée de plomb à la dernière saison. La silhouette d’un lapin et d’un enfant se ressemblent tant qu’une erreur est vite arrivée. Qui amat periculum in illo peribit.
La chasse, c’est vraiment un truc de gros cons.
En chasse !
Jess Kaan
Lajouanie
Des articles sponsorisés ? Oui mais non.
Oyez, oyez, gentes dames et gents damoiseaux de la communauté d’Un K à part ! Aujourd’hui, direction les coulisses du blog pour un épisode à mi-chemin entre Vis ma vie (de blogueur) et La quatrième dimension.
Continuer la lecture de « Des articles sponsorisés ? Oui mais non. »Coup de projecteur : Tiphaine Croville
Tiphaine Croville… Son nom revient souvent en ces lieux… un peu comme celui de Sophie Jomain qui a fait l’objet d’un autre portrait d’auteure.
Mêmes causes, mêmes effets, j’ai donc décidé de mettre aussi un coup de projecteur sur Tiphaine. Le projo en folie fait encore des siennes ! Peut-être qu’un jour j’investirai dans une boule à facettes et rebaptiserai le blog Un spot à part, mais on n’en est pas là.
Pour le moment, revenons sur la destinée de miss Pégase dans un portrait minutieux, dont chaque information a été vérifiée avec la plus grande rigueur scientifique avant validation par le Haut Conseil des Lutins.
Coup de projecteur : Tokuda Shigeo
Parlons aujourd’hui de Tokuda Shigeo (徳田重男), figure majeure du cinéma japonais.
Je n’ai pas encore eu l’honneur de rencontrer ce petit vieux à l’air bonhomme et amateur de pintes. C’est bien dommage. L’idée est en projet, cela dit, et j’espère que maître Tokuda rejoindra mon palmarès de rencontres glorieuses où figurent déjà Angelina Jolie, Brad Pitt, Benoît Poelvoorde, Katsuni (du temps où elle s’appelait encore Katsumi), Bernard Minet, Carlos (le chanteur, pas le terroriste) ou encore sa consœur et compatriote Yui Hatano – liste non exhaustive mais représentative d’un certain éclectisme…
Coup de projecteur : Sophie Jomain
Sophie Jomain inaugure aujourd’hui une nouvelle série de publications : les portraits d’auteurs sauce Un K à part.
En quoi consiste cette fantaisie ?