SFFF (1) Metal hurleur

SFFF, y voir plus clair… ou pas

Précision liminaire, cette série d’articles sur la SFFF n’est qu’une somme de remarques en vrac sur le thème de l’imaginaire, pas une thèse rigoureuse avec un plan carré en vingt-sept sous-parties. Des pistes de réflexion, pas de vérités absolues, je suis toujours parti du principe que l’imaginaire était un domaine mouvant et libre, pas le royaume du “il faut”, “on doit”, “c’est comme ça qu’on fait/pense/dit et pas autrement”.
(Pour dissiper toute ambiguïté, précisons aussi qu’il sera question de littérature de genre, pas de la Société française de fist-fucking.)

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Juste avant le crépuscule – Stephen King

Juste avant le crépuscule
Stephen King
Le Livre de Poche

Couverture Juste avant le crépuscule Stephen King Le livre de poche

Hello, my friend, stay awhile and listen.
Celle-là, si je ne l’ai pas entendue douze mille fois dans Diablo… Deckard Cain attaquait chacun de ses speechs sentencieux avec cette ouverture aussi invariable que des haut-le-cœur provoqués par des vol-au-vent.
Fallait rester planté là comme un radis et écouter le baratin de l’ancêtre, alors qu’il y avait tant de choses plus constructives à faire. Par exemple semer des tas de pognon sur la grand-place du village et élever Tristram au premier rang des paradis fiscaux.

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La maîtresse de guerre – Gabriel Katz

La chronique de La maîtresse de guerre pourrait tenir en une phrase : ce bouquin est aussi bon que son auteur est chauve.

La maîtresse de guerre
Gabriel Katz
Scrineo

Couverture La maîtresse de guerre Gabriel Katz Scrineo
Ça tombe bien, mon vrai métier en dehors du blog, c’est maître de guerre.
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Violante avec un a

Violante est l’héroïne de Rouille, roman de Floriane Soulas que je viens de terminer (chronique prévue pour demain, mais chut, ne le répète à personne).
Comme le bouquin met en scène des prostituées, je me suis dit que c’était l’occasion de bidouiller un montage steampunk sexy (comme si j’avais besoin d’un prétexte…).
Je récupère une photo exploitable sur un site de costumes et déguisements qui l’avait lui-même pompé ailleurs. Quelque chose m’interpellait, un air de déjà-vu…

Faye Reagan
Avant…

Ce n’est qu’une fois le montage terminé que j’ai enfin eu le déclic et que le nom du modèle m’est revenu : Faye Reagan. Un choix aussi involontaire (pour une fois) que judicieux (on reste dans le domaine des travailleuses du sexe).

Faye Reagan style steampunk par Un K à part
… après