Nettoyer ses Lego, c’est bien gentil, encore faut-il les mettre quelque part après l’opération. Organiser tout ce bazar de briques n’a rien d’une mince affaire, c’est pourquoi je vais vous révéler le grand secret du rangement et du classement des Lego, tel qu’il m’a été transmis par des moines shaolin du temple de Bri-Khet, en Thaïlande, au terme de nombreuses années d’enseignement.
Continuer la lecture de « Le classement et le rangement des briques Lego »Le cross-over ultime…
… entre Harry Potter, Le Trône de Fer et Twilight, avec une pincée de Y a-t-il un pilote dans l’avion ? en bonus. Polysémie à tous les étages…
Pocket Terreur is back
Elle me manque, la collection Terreur de chez Pocket… Je la ressuscite avec une intégrale de Manitou de Graham Masterton…
… un album de Martine (Funny Games)…
… et Oui-Oui pilleur de tombes.
Et c’est pas fini…
Continuer la lecture de « Pocket Terreur is back »Doublé Stephen King
Aujourd’hui, on détourne Dolores Claiborne et Les enfants du maïs !
D’autres détournements des œuvres de Stephen King :
– Salem
– Charlie
– Ça (version Star Wars et version Bescherelle)
– Sleeping Beauties
– Le Fléau
– doublé Ça et Peur bleue
– Christine
Cérémonie des K d’Or 2017
A l’occasion de mon anniversaire, comme l’an dernier, c’est bibi qui distribue les cadeaux : les K d’Or, la récompense littéraire ultime, mieux que le Goncourt, le Renaudot et le Tutti Quanti réunis. De quoi faire gonfler les chevilles des récipiendaires au moins autant que les miennes.
Continuer la lecture de « Cérémonie des K d’Or 2017 »Une claque
On parle souvent des clichés en littérature, mais faut reconnaître que ce qui se dit à propos des bouquins n’en est pas exempt, loin de là. La critique tient souvent du festival de lieux communs et m’a inspiré un détournement du célèbre mème de Batman torgnolant Robin.
Si j’en juge par le nombre de “claques” que je vois défiler à longueur d’année chez les chroniqueurs de tous bords, je me dis que la glorification de la torgnole a encore de beaux jours devant elle, et qu’il y a encore du chemin à faire avant qu’on arrête d’associer excellence littéraire et violence physique, comme si les deux étaient quelque chose de bien et représentaient un sommet de l’accomplissement humain.
Perso, la seule claque livresque que j’ai reçue cette année, c’est ce bouquin, dont les 2250 pages m’ont atterri sur les orteils lors du rangement de ma bibliothèque. Je l’ai senti passer, le poids des mots…