Il poussa la porte et entra

Tout le monde connaît ce leitmotiv de Frédéric Dard, alias San Antonio. Cette porte qu’on pousse sans savoir ce qu’on va trouver derrière, qu’on soit auteur ou lecteur. Cette porte qui peut donner sur une scène de crime, une salle au trésor, une dimension parallèle, un monde à la Narnia, l’antre d’un alien… Le point de départ de l’imagination et de la fiction, tous genres confondus.

Un aller simple, aussi, vers la coquille XXL quand on n’a jamais ouvert un Bescherelle de sa vie.
En témoigne cet extrait de la BD Le bistro des perversions de Chris édité chez Dynamite. Alors certes, à la décharge du gars Chris, il est espagnol et a appris le français sur le tard, donc qu’il n’en maîtrise pas toutes les subtilités, je comprends. Par contre, l’éditeur qui ne prend pas la peine de faire rectifier les coquilles – et elles sont légion dans ce titre – par un correcteur, ça me dépasse.
Enfin, voilà, “la porte s’ouvra”, comme il dit.
Il poussit la porte et entrit.

Il poussa la porte et entra

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