Comme beaucoup de gens de ma génération, la Bibliothèque verte et la Bibliothèque rose auront nourri en abondance mes lectures de jeunesse. À noter qu’on parle ici des versions années 50 à 80, avant que Hachette ne trouve judicieuse l’idée de chier sur le travail des auteurs en retouchant le texte comme des foutus gougnafiers. Et ça se prétend éditeur… Ben ça va, y en a qui sont pas gonflés…
Bref.
Dans mon cas, quelques one-shots de Jules Verne et une poignée de tomes issues de séries comme Les Six Compagnons ou Le Clan des Sept doivent représenter 1% de mes lectures dans ces deux collections. Le reste se répartit entre Michel (Georges Bayard), Le Club des Cinq (Enid Blyton), Les trois jeunes détectives (Alfred Hitchcok, qui n’en a écrit aucun) et Alice (Caroline Quine), dont j’ai lu l’intégralité des aventures – au moins ce qui était sorti à l’époque, pas les titres postérieurs aux années 90 ou jamais traduits. Les Club des Cinq et les Michel, je les tenais de mon paternel, les Alice et les pseudo-Hitchcock m’ont été pour la plupart offerts par ma mère et le reliquat emprunté à la bibliothèque de quartier derrière chez moi.
Catégorie : Critiques express
Des bouquins sur lesquels je n’ai pas grand-chose à dire, mais je le dis quand même.
Critiques express (63) Histoire(s) de fesses
L’Histoire a beaucoup inspiré les auteurs d’érotisme et de porno.
Pas toujours pour le meilleur…
Critiques express (62) Le vice sans la vertu
Chaque jour le monde part un peu plus en sucette, ce qui me semble un bon prétexte pour continuer l’exploration des titres de ma collection de BD érotiques, histoire de rester dans la thématique.
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L’automne est bien installé et on se pèle les miches bien comme il faut. Vu ce que coûte le chauffage, va falloir faire sans pour pouvoir payer le loyer et la bouffe. On se rabattra sur les notions alternatives pour dégager un peu de chaleur et éviter l’hypothermie. Le boulard arrive en tête de liste des plans B pour se réchauffer à petit prix, à égalité avec foutre le feu aux symboles du capitalisme et à ses défenseurs (mais cette dernière option risque de vous valoir quelques ennuis avec la loi, c’est à vos risques et périls).
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Cet article vient en complément des chroniques ciné sur les Sept samouraïs et Yojimbo, des ouvrages sur Miyamoto Musashi et l’art du sabre, des romans Le sabre des Takeda et Le parfum de Katsu, de l’essai La mort volontaire au Japon.
On l’aura compris, le sujet des amouraïs m’intéresse beaucoup.
Critiques express (59) Ça fait du bien là où ça fait mal
“Ça fait du bien là où ça fait mal”, le slogan de Synthol pourrait aussi être celui de ce regretté haut lieu touristique que fut le gîte de la Fistinière. Mais aujourd’hui, on ne s’aventurera pas dans l’enfilage de mains dans l’oignon pour se contenter de rester en surface avec beaucoup de pan-pan cul-cul au programme de lecture à travers trois recueils (In/Soumises, Petite dactylo, L’œillet de Louise) et un roman (La comtesse au fouet). Attention, le propos s’annonce un peu plus cru de ce que le grand public connaît du sujet à travers cette flaque de chiasse qu’est Cinquante nuances de Grey, douloureux aussi à sa façon mais sans rien d’agréable.
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