Je me suis retrouvé embarqué dans la lecture de Marie Béatrice par Louve. Romain Mikam cherchait des chroniqueurs pour son roman auto-édité, Louve a cité mon nom, j’ai dit pourquoi pas, Mikam a dit pourquoi pas aussi. Prêt à courir le risque de recevoir, je le cite, “une critique franche” et d’en prendre plein l’ego.
La chronique qui suit est basée sur la version numérique. Connaissant le tarif d’une auto-édition, je me voyais mal amputer Mikam d’un exemplaire papier.
Marie Béatrice
Romain Mikam