Paul Colize fait partie de ces auteurs qui ne me facilitent pas la vie.
Back Up, Un long moment de silence, Concerto pour 4 mains… Il me bluffe à chaque fois. Un point en sa faveur… jusqu’au moment de le chroniquer.
Un bon livre… un très bon roman… un excellent bouquin… Un jour ou l’autre j’atteindrai le dernier barreau de l’échelle. Après… Course à l’armement sémantique ? escalade dans le superlatif ? fromage ou dessert ?… Ou alors, air connu, “faudrait que j’invente des mots qu’existent pas dans le dico”.
En plus, le bougre écrit bien et même mieux que ça. Je dois mettre les bouchées doubles sur la rédaction. L’impression de jouer dans Deep Throat ou une de ses multiples resucées.
Chroniquer le Paulo, une sacrée paire de manches, je te le dis. La solution ? Un marcel.
Zanzara
Paul Colize
Fleuve noir