L’histoire d’un guerrier manchot, d’une vengeance et d’une caméra agitée.
Sorti en 1995, le film fut un bide en son temps. Avant de le revoir ces jours-ci, je l’avais découvert à sa sortie au ciné de ma fac où je passais plus de temps que dans les amphis. Ah, époque bénie…
Mega Bloks est sans doute une des marques de jeu de construction dites “compatibles” les plus connues et une des plus anciennes encore en activité. Compatibles avec quoi ? Lego, pardi ! Née au Canada, l’entreprise a répandu ses briquettes dans le monde entier, mais son principal terrain de jeu reste le marché nord-américain. Tout un pan de son catalogue est occupé par des partenariats (Hot Wheels) et des licences avec pas mal de références liées à différents univers issus du cinéma (Star Trek, Pokemon, Iron Man, Pirates des Caraïbes) et des jeux vidéo (World of Warcraft, Halo, Call of Duty, Skylanders). Mega Bloks n’est pas une marque que j’achète, mais il m’arrive de récupérer des briques par-ci par-là mélangées à des Lego dans des lots de brocante et de solderie et, à l’occasion, des bouts de sets. J’avoue n’avoir jamais été emballé. L’apparence des briques fait très bon marché pour ne pas dire toc à mes yeux et les différences de coloris rendent compliquée la compatibilité avec les Lego. Dans le lot des trouvailles, deux boîtes Skylanders:Giants, chopées en solderie par ma mère à 1€ pièce, le tank troll et la tourelle de Sprocket.
Depuis 2008, on bouffe du Marvel au cinéma à raison de deux ou trois par an. Et c’est toujours pas fini. Je me suis tapé la première vague avant de lâcher l’affaire en voyant que de plus en plus chaque film ressemblait moins à un film qu’à un teaser de ceux à venir. J’ai toujours été plus DC que Marvel de toute façon. Toute la clique Marvel n’arrivera jamais à la cheville de Batman et Catwoman.
Florilège en vrac de films avec des sales bêtes dedans. Venues de l’espace, des tréfonds océaniques, de labos où des savants fous ont foiré leurs expériences, elles envahissent les écrans pour le meilleur et pour le pire.
Sans lien de parenté avec Johnny mais cousin du AT-AT, le Walker AT-ST partage avec ce dernier le statut de marronnier du catalogue Lego pour la licence Star Wars, increvable revenant qui repointe le bout du nez tous les six mois, en boîte ou en polybag, en petit ou en grand, en version Hoth, Endor ou Premier Ordre, avec une mention spéciale à l’édition Bozo du Mandalorian en 2021 (75254), qui pique les yeux tellement elle est moche. Aujourd’hui, il sera question du set 75153, c’est-à-dire la version Rogue One vendue dans les cinquante balles par Lego et que j’ai pu dénicher pour trente sur eBay, où un particulier le revendait avec une boîte abîmée, d’où la ristourne. L’emballage, en piteux état, a fini à la poubelle… où il se serait retrouvé de toute façon. Pas la place pour garder tout un bazar de boîtes vides chez moi. Tout le reste était intact et c’est bien ce qui m’intéressait.