En 2010, Lego lançait sa première série de Collectible Minifigures (figurines à collectionner en VF). Une décennie et quelques plus tard, quarante panoplies sont déjà sorties, soit pas loin de 500 figurines. Scoop qui n’en est pas un : je ne les ai pas toutes (et je ne compte pas les avoir toutes).
L’intérêt intrinsèque de chaque série est très variable et les thématiques nombreuses (random, Simpsons, Batman, Harry Potter, Muppets, Disney, les différents films Lego…). Sur le même principe que les vignettes Panini de mon enfance, les figs sont vendues en sachet, sans qu’on sache ce qu’il contient. Je n’en achète donc jamais sous leur forme d’origine, ayant horreur 1) de dépenser du pognon au pifomètre, 2) de prendre le risque de ne pas tomber sur les personnages qui m’intéressent et d’avoir en triple exemplaire ceux dont je n’ai rien à foutre, et 3) du procédé, qui est conçu pour te faire dépenser un max si tu veux la série complète (avec à l’arrivée pas mal de doublons, vu que les figurines d’une série ont des fréquences différentes).
J’en ai quand même quelques-unes, que je récupère ici et là via Bricklink, eBay, la Chine, les brocantes et solderies.
Catégorie : Cabinet de curiosités
Un nom qui pète pour désigner un fourre-tout de trucs inclassables ailleurs.
Vous reprendrez bien un sushi ?
J’ai commencé à sortir ma bibliographie sur le Japon pour dresser l’inventaire. Il a fallu arrêter en cours de route, la planche du bureau commençait à plier sous le poids des bouquins…
Dans tout ce bazar, je conseille comme incontournables :
– Natsume Sōseki : Le pauvre cœur des hommes
– Mishima Yukio : Confessions d’un masque
– Maurice Pinguet : La mort volontaire au Japon
– Ruth Benedict : Le chrysanthème et le sabre
Chroniqués sur le blog, vous pouvez aussi jeter un œil sur Yakuza (Alec Dubro et David Kaplan), Ring (Suzuki Kōji), La pierre et le sabre et La parfaite lumière (Yoshikawa Eiji), Le sabre des Takeda (Inoue Yasushi), Le sabre japonais (Gregory Irvine), Geisha (Arthur Golden), Ma vie de geisha (Iwasaki Mineko), Mémoires d’une geisha (Inoue Yuki) et L’Abécédaire du Japon (Moriyama Takashi).
Vorace – Antonia Bird
Les fêtes de fin d’année sont synonymes de neige et d’orgies de bouffe, le moment idéal pour une chronique de Vorace (Ravenous en VO), western d’horreur sorti en 1999 et réalisé par Antonia Bird sur un scénario de Ted Griffin.
Atelier bricolage : coffret Phitanie
Aux Halliennales 2018, j’avais acheté pour l’anniversaire de madame K à part la trilogie Phitanie de Tiphaine Croville parue aux éditions Rebelle.
Depuis, la miss est devenue une grande fan de Phitanie. Elle a lu le premier tome – qu’elle a adoré. Elle est en train de lire le deuxième – qu’elle adore encore plus. Mais…
Mais elle n’a pas LE sac pour emballer ses bouquins. Moi, si (nananère). Ce sac “On est ce que l’on choisit d’être” faisait partie du pack Noël vendu par l’auteure l’an dernier.
Ghost in the chiottes, incontinence
Comme disait mon ami Jacob Delafon, “le trône ne fait pas le roi, mais le roi fait sur le trône”.
Pour enrichir l’article sur la légende de Hanako-san, voici un complément cinématographique.
Continuer la lecture de « Ghost in the chiottes, incontinence »Projet Noces d’écailles
En dehors de ce blog, l’essentiel de mon temps libre se partage entre les voyages temporels et l’extermination des licornes. Mais pas que. J’appartiens à la prestigieuse Académie draconique impériale. Eh ouais, la classe, hein ?
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