Pour la première chronique du Noël des auteurs, je prête mon fauteuil à Nicolas Duplessier, auteur d’Eté pourri à Melun Plage. Il va nous parler de deux bouquins : L’homme aux yeux de napalm (Serge Brussolo) et Les fantômes du vieil hôtel (Cornelius Lehane).
Auteur/autrice : Fred K
Le Noël des auteurs
Pas à une idée farfelue près, la joyeuse bande d’Un K à Part a choisi de laisser la parole aux auteurs pour présenter quelques lectures de Noël. Leur activité de scribouillard les désigne d’office comme les pigeons rêvés hommes et femmes de la situation quand il s’agit de parler bouquins. (En clair, j’avais la flemme et besoin d’esclaves pour bosser à ma place pendant mes courses de Noël).
Un blablabla ne devrait pas dire ça
Je crois que tout le monde a bien compris qu’un président ne devrait pas dire ça. Mais les autres ?
Le Seagal et la fourmi
La Fontaine (je ne boirai pas de ton eau) réédité, avec l’affable Steven Seagal en guest-star. Eh bien, fightez maintenant !
Série B : la totale – Kurtz et Falvo
Stan Kurtz, Série B
Tomes 2 à 6
Stan Kurtz / Marc Falvo
Fleur Sauvage
Après un excellent démarrage, Série B poursuit sa route. Aujourd’hui, je vais vous parler des tomes 2 à 6 (pas de surprise, annoncé dans le titre). Et parce que la maison Un K à Part prend de l’avance sur les soldes du mois prochain, elle vous offre en plus – offrir en moins, en même temps… – une chronique d’ensemble de la série !
Série BB
N’ayant pas le budget pour pondre une bande-annonce pleine d’effets spécieux et d’acteurs archiconnus, je me rabats sur le teaser du pauvre : Photoshop.
L’occasion de glisser une suggestion de couverture pour la saison 2, Série BB, Et le dieu Falvo créa Kurtz.
L’occasion de dire que cette série est bonne de bonne.
L’occasion enfin d’annoncer une méga chronique de la mort qui tue pour demain sur Série B de A à Z. Enfin, de B à B et de 2 à 6 plutôt – le 1, c’était là, je vous invite à la relire pour réviser.
Alors ça fait beaucoup d’occasions. En même temps, Falvo a sorti récemment un bouquin qui s’appelle D’occase – que je chroniquerai sous peu –, c’est de bon thon comme disait Cousteau.