Melun, j’en avais causé à propos du bouquin de Nicolas Duplessier et de son été pourri. Aujourd’hui il sera question de fantasy et d’un homonyme (comme le café, sauf que ça s’écrit pas pareil), Melin l’Enchanteur Stéphane Melin.
Auteur, éditeur, organisateur, sponsor, émissaire du Ternet, tu es sur ce montage que j’ai réalisé de mes petites mains habiles. Sauf si je t’ai oublié, auquel cas tu m’en vois bien désolé (140 photos en une, ce serait un miracle qu’il n’y ait pas d’erreur). Pour le déroulé complet des noms, cf. le site de l’événement. Je complète le listing avec les gens des Internet invités pour l’occasion : le webzine Onirik, les youtubeuses des Lectures de Fann et Moody take a book, ainsi que bibi d’Un K à part. Il manque deux acteurs majeurs : les artisans du marché fantastique (je n’ai pas la liste) et les visiteurs (qui viennent par milliers, donc impossibles à caser un par un – Photoshop a ses limites, c’est un logiciel de retouche photo, pas de magie). On les retrouvera dans le compte-rendu que je publierai autour du 9-10 octobre.
J’allais te proposer un plan à Troie, mais on va garder l’idée pour un livre sur la Hitlerjugend (et des fois que t’aurais pas capté la vanne, Ilion se situe en nazi mineur). Partons plutôt en virée à Wastburg, un bouquin de…
Depuis 2008, on bouffe du Marvel au cinéma à raison de deux ou trois par an. Et c’est toujours pas fini. Je me suis tapé la première vague avant de lâcher l’affaire en voyant que de plus en plus chaque film ressemblait moins à un film qu’à un teaser de ceux à venir. J’ai toujours été plus DC que Marvel de toute façon. Toute la clique Marvel n’arrivera jamais à la cheville de Batman et Catwoman.
Quand j’ai vu la couverture de La Nuit des Cannibales, je me suis dit que la lueur diffuse autour du titre aurait gagné à être affinée. Augmenter la taille, baisser l’opacité, l’évidence même. J’ai quand même acheté le bouquin parce qu’on m’avait dit qu’il était bien. Le conseil venant de quelqu’un qui ne raconte pas que des conneries, why not? comme on dit dans la langue de Goethe (ou Cervantes, j’ai un doute).