Deux bidouillages avec des engrenages et des pistons dedans.
Le droïde de protocole Iron Man n’est pas à proprement parler steampunk mais fallait bien le caser quelque part (et bon, combien de cosplays vaporistes s’inspirent des bras de C3PO ?).
Le second répond à une requête de l’auteur Cendrine Nougué dans le cadre de l’opération Fleur Sauvage ne fanera pas, destinée à sauver une maison d’édition qui le mérite. Un montage steampunk pour faire connaître une bonne cause, je n’allais pas dire non.
On reparlera steampunk dans une paire de semaines avec la chronique de Punk’s not dead (Anthelme Hauchecorne).