Que seraient les membres de l’Agence Tous Risques sans leur camion ?
Des piétons.
La part des ténèbres – Stephen King
Coincé par sa propre notoriété et les contraintes éditoriales, Stephen King se crée un alter ego, Richard Bachman, pour placer certains de ses bouquins. Jusqu’au jour où la supercherie est découverte par un employé de librairie, Steve Brown, après la publication de La peau sur les os. Prenant les devants, King révèle au monde sa double identité, perdant au passage son siège à la Ligue des super-héros, où les règles sont strictes sur le sujet (ne pas parler du fight club, ne pas nourrir un Mogwai après minuit et surtout ne jamais dévoiler son vrai nom, quand bien même le secret serait de polichinelle dans la lignée des Clark Kent, Bruce Wayne et autre Peter Parker).
Cette mésaventure lui inspirera La part des ténèbres.
La part des ténèbres
Stephen King
Pocket Terreur
Critiques express (56) Guerres en images
J’ai déjà chroniqué pas mal de bouquins sur le sujet militaire, la plupart très chargés en texte et peu fournis en iconographie, voire dépourvus de la moindre image, ce qui rend leur propos parfois très abstrait et éthéré, avec tout ce qu’on peut imaginer comme difficultés pour se réprésenter le sujet traité.
Aujourd’hui, ce sera l’inverse avec des livres bourrés de photos.
Huit ans à part
L’an dernier, j’avais soufflé les bougies du blog le cul entre deux chaises, moitié satisfait du travail accompli, moitié sur ma faim de ne pas avoir pu faire tout ce que j’aurais voulu.
Aurai-je réussi cette année à poser mon auguste séant à un endroit plus confortable ?
(Suspense insoutenable…)
Le joueur de croquet – H. G. Wells
Le joueur de croquet
H. G. Wells
Folio
Le plus british des écrits de Wells, plutôt mineur dans sa biblio, Le joueur de croquet en touche une sans remuer l’autre.
La Vénus à la fourrure – Léopold von Sacher-Masoch
La Vénus à la fourrure
Léopold von Sacher-Masoch
Mille et une nuits
Léopold von Sacher-Masoch aura cartonné de son vivant. Tant mieux pour lui. Succès dû entres autres à des pièces de théâtre très ancrées dans son temps, donc périssables avec lui. Un phénomène de mode, éphémère. Le gars n’est pas cané qu’à peu près personne ne se souvient de lui. Si le docteur Richard von Krafft-Ebing n’avait pas repiqué son nom pour définir le masochisme, Léo serait sans doute tombé pour de bon dans l’oubli. Je crois pas que ç’aurait été un mal…