Hier, je chroniquais Le Label N de Jess Kaan. Pour exploiter le filon, j’ai imaginé une suite, Le Label O. Dans ce polar haletant (et “addictif”, comme disent mes confrères et consœurs), Luc Mandoline met le nez dans un trafic de baume à lèvres, parce que la série ne s’appelle pas l’emBAUMEur pour rien.