Annoncée la semaine passée, voici la sortie du week-end : j’ai été au 4e salon du livre et de la francophonie à Abbeville.
(Note pour les puristes : vous pouvez remplacer “j’ai été” par “je suis allé” si ça vous chante, le résultat sera le même.)
Pour ceux qui n’auraient pas suivi le K à part Picardie Tour des années précédentes, petit résumé…
La bonne ville d’Abbeville a lancé son salon du livre en 2016. Particularité de l’événement, il s’inscrit dans la semaine de la langue française et de la francophonie, qui elle-même s’étale autour de la journée internationale de la francophonie du 20 mars (les poupées gigognes de la francophonie…). L’occasion de mixer les auteurs du cru, locaux ou régionaux pour l’essentiel, et ceux d’un pays invité (Bénin en 2016, Québec en 2017, Belgique en 2018, et le tiercé Tunisie, Algérie, Maroc cette année).
C’est un salon que j’aime bien. Déjà, parce qu’il est très accessible de chez moi. Pas besoin de compter sur la SNCF (sur laquelle on ne peut jamais compter) ni de monter des plans covoiturage/hébergement de fou furieux. Ensuite, il n’y a ni trop de gens ni trop de bruit, ce qui tombe plutôt bien : j’ai horreur des uns comme de l’autre. Ambiance feutrée donc.
Comme les précédentes éditions, celle-ci était bien (hormis une absence quasi totale de communication en amont de l’événement).
J’ai pu revoir quelques têtes déjà croisées ici ou ailleurs (Enel Tismaé, Léo Lapointe, Thierry Declercq, Bertrand Puard…) et en découvrir de nouvelles (Manon Wiertlewski). J’ai profité de l’occasion pour me faire péter le bide à coups de thé à la menthe et de cornes de gazelles. Quelques achats au menu, cf. photo (les deux exemplaires de Et tu entendras le bruit de l’eau de Sophie Jomain proviennent d’une dédicace la veille et pas du salon, mais je les mets avec, ça fait partie de mon week-end livresque abbevillois).
Une belle édition, une sortie sympa en famille, what else?