Manhattan Carnage
Orcus Morrigan ; trad. Maxime Gillio
L’Atelier Mosésu
Orcus Morrigan est un zombie. Mais pas que. Il écrit des livres. Vrai de vrai, Maxime Gillio, son traducteur, me l’a certifié croix de bois croix de fer.
D’ordinaire les zombies et moi, ça fait deux.[1] Y a quinze ans, 28 jours plus tard a réactualisé et relancé le genre. Depuis, on en bouffe à toutes les sauces… films, séries, romans, BD, jeux vidéos et la tête alouette… je suis gavé, je me barre en courant dès que j’entends parler de zombie – ce qu’est pas un mauvais réflexe, au fond.
Autant dire que Manhattan Carnage partait avec un sérieux handicap.
Verdict après lecture ? C’est de la balle, comme disait la marquise de Montrou.