L’été approche, on crève déjà de chaud, avec une seule envie : se mettre au frais, dans un sous-sol, une cave, loin, très loin dans les profondeurs terrestres.
Direction le monde sous tes reins !
Où c’est pas dit que la température soit moins torride qu’à la surface.
Catégorie : Chroniques de livres
Mon fonds de commerce, les chroniques de livres. Prévoyez du temps de lecture, j’aime les longs formats qui permettent d’entrer dans le détail d’une œuvre et en explorer toutes les facettes (intrigue, narration, style, personnages, univers, intentions de l’auteur…).
Donjons & Dragons
Je ne vais pas revenir sur les origines du jeu de rôle Dungeons & Dragons créé en 1974 par Gary Gygax et Dave Arneson, je n’étais même pas né en ces temps reculés.
Je m’y suis mis en 1991, avec la sortie en français de la seconde mouture des règles avancées : Advanced Dungeons & Dragons 2ème édition, ou ADD, parce que ça va quand même plus vite à dire.
L’univers fétichiste de Xavier Duvet
Xavier Duvet est né en 1842 dans le même village que Connor MacLeod (comme par hasard, diraient nos amis complotistes). Bien que son nom le promette à un brillant avenir de fabricant de matériel de camping, il préfère jouer du crayon et de la gouache sur les murs de la demeure familiale et s’oriente très tôt vers le dessin, au point que la légende raconte que c’est lui qui a expliqué à Léonard de Vinci dans quel sens on tient un pinceau. Il vit aujourd’hui à Gotham City, où il travaille comme dessinateur et scénariste de bande dessinée le jour et testeur de toboggans la nuit.
(Sinon, vous pouvez trouver la vraie biographie de Duvet sur Wikipedia ou sur son site. Comme je voyais pas l’intérêt de la recopier, j’ai préféré lui en inventer une autre.)
Les yeux du dragon – Stephen King
Les yeux du dragon
Stephen King
Pocket Terreur
Les yeux du dragon, c’est le roman du compromis.
Qu’est-ce qu’un compromis ?
Vouloir contenter le plus grand nombre pour au final ne satisfaire personne et frustrer tout le monde.
Warhammer Battle & Warhammer, le jeu de rôle fantastique
La licence Warhammer est sans doute une des plus étendues dans l’univers ludique.
Elle naît en 1983 avec Warhammer Fantasy Battle, un wargame médiéval-fantastique avec figurines. Le concept est décliné en jeu de rôle en 1986 et en wargame futuriste avec Warhammer 40,000: Rogue Trader en 1987. Puis en jeu de foot américain (Blood Bowl, 1986), de batailles navales (Man O’War, 1993) et spatiales (Battlefleet Gothic, 1999), de plateau (Space Hulk, Space Crusade, Heroquest). Avant même d’avoir atteint l’an 2000, on compte déjà une quinzaine de déclinaisons sur table. À l’heure actuelle, tous supports confondus, la totalité des titres parus remplit un bottin, puisqu’en plus des JdR et des jeux de figurines, on compte aussi plusieurs séries de romans, des comics, quelque chose comme une soixantaine de jeux vidéo, un film d’animation (l’inénarrable Ultramarines).
Si au final WH40K se taille la part du lion et reste le titre-phare de Games Workshop, revenons sur le versant fantasy de la licence, puisque c’est par lui que tout a commencé.

Critiques express (73) Un jour sans fion
Rappelez-vous ce film des années 80 avec Bite Murray en vedette, qui le voyait coincé dans une boucle temporelle pendant la journée mondiale de l’abstinence. Un calvaire éternel qu’on ne souhaite à personne. Sauf aux abstinents, vu que pour eux, c’est la définition même du paradis. Comme on dit, le malheur des uns fait le bonheur des autres.
Continuer la lecture de « Critiques express (73) Un jour sans fion »



