Bilbo le hobbit – J. R. R. Tolkien

Quand on est pour s’atteler à une chronique du Hobbit vient une question : qu’est-ce que je vais bien pouvoir raconter qui n’ait pas déjà été dit depuis bientôt neuf décennies que le bouquin est sorti ? À moins d’être un monument de prétention qui croit pouvoir réinventer la roue en se croyant novateur, la réponse est rien. Que dalle. Nib. Nada. Peau de balle.

Bilbo le hobbit
J. R. R. Tolkien

Le Livre de Poche

Bilbo le hobbit JRR Tolkien Le Livre de Poche
Une des couvertures les plus moches qu’il m’ait été donné de voir…
Continuer la lecture de « Bilbo le hobbit – J. R. R. Tolkien »

Star Wars, le jeu de rôle de La Guerre des Étoiles

Star Wars, le jeu de rôle de La Guerre des Étoiles
(Seconde édition)
West End Games / Descartes Éditeur

À la fin du siècle dernier, dans une galaxie très proche, l’histoire d’une occasion manquée…

Star Wars jeu de rôle La guerre des étoiles seconde édition West End Games Jeux Descartes
Continuer la lecture de « Star Wars, le jeu de rôle de La Guerre des Étoiles »

Les brumes de Babylone – Michael McDowell

Les brumes de Babylone
Michael McDowell

Pocket Terreur

Celles et ceux qui ont déjà essayé de s’enfiler un cactus dans le fondement comprendront l’analogie. Les autres devront faire appel à leur imagination (ou à un fleuriste). La lecture des Brumes de Babylone est une expérience désagréable, douloureuse même, du genre que tu regrettes, beaucoup et longtemps, et t’amène à te demander comment, à un moment, t’as pu penser que c’était une bonne idée. En tous les cas, une chose est sûre : cette purge imbuvable est largement surcotée.

Les brumes de Babylone Lune froide sur Babylon Michael McDowell Pocket Terreur
Continuer la lecture de « Les brumes de Babylone – Michael McDowell »

Le colonel Chabert – Honoré de Balzac

Le colonel Chabert
Honoré de Balzac

Librio

Le colonel Chabert Honoré de Balzac Librio

La Restauration, c’est tout nase et ses élites nobiliaires ne valent pas un pet de lapin au regard de celles du glorieux Empire, voilà ce qui ressort de cet opus. Bah non, c’est ni mieux ni pire, suffit d’ouvrir n’importe quel livre d’histoire pour en avoir la confirmation.
Le roman est court, ce qui présente deux avantages. D’une, on n’a pas le temps de s’ennuyer comme souvent dans les textes de Nono où les descriptions interminables rivalisent avec les dialogues dont on ne voit pas le bout. De deux, on n’a pas le temps non plus de mourir étouffé sous la mauvaise foi napoléonophile du machin.

Continuer la lecture de « Le colonel Chabert – Honoré de Balzac »