Dans deux semaines, il y a le salon du livre à Paris. Comme les années précédentes, je n’irai pas. Payer pour une poignée de signatures et trois minutes avec des auteurs, non merci. Quitte à se faire vider la bourse, je préfère investir dans une escort-girl.
Donc ce sera Abbeville et son salon du livre et de la francophonie qui ne te rackette pas à l’entrée.
Particularité du salon d’Abbeville, il se tient pendant la semaine de la francophonie. Plutôt qu’un thème global, l’accent est donc mis sur nos cousins linguistiques avec chaque année un pays différent. Après le Bénin (2016) et le Canada (2017), l’invité de cette édition sera la Belgique.
Gros intérêt de ce salon, il ne se limite pas au salon proprement dit. On a l’embarras du choix parmi un paquet d’animations (ateliers, conférences, projections, spectacles). Les manifestations débordent du texte écrit et s’étendent à l’oral, aux arts graphiques, à l’audiovisuel. Les parents qui veulent visiter le salon au calme pourront larguer leur parasite dans un des ateliers prévus pour les tout-petits.
Donc grosse programmation à partir du 13 mars avec le salon comme point d’orgue les 17 et 18 mars. Tu trouveras l’intégralité des festivités sur cette page (là où c’est marqué pièce jointe – qui ne prend pas de trait d’union, soit dit en passant).
(Addendum : compte-rendu du salon ici.)