Annonce : Halliennales 2016

Oyez bonnes gens, les Halliennales, Festival de l’Imaginaire se tiendra à Hallennes-Lez-Haubourdin le 8 octobre prochain. I’ll be there, comme disaient les Jackson Five.

Arrivée prévue très tôt, qui se traduira par des cernes jusqu’aux genoux et une pâleur de macchab’. Je ne devrais pas avoir de mal à me fondre dans la masse, le thème retenu pour cette année étant le zombi.

Il s’agira de ma première virée à ce salon, dont on me vante les mérites depuis des lustres.
Du foutage de gueule quand on sait à quel point la littérature dite “de l’imaginaire” mange à elle seule les trois quarts de ma bibliothèque.
Jamais eu l’occasion d’y aller, soit parce que j’étais en France mais pas dispo, soit parce que je me trouvais à l’autre bout du monde (mes demandes auprès des pouvoirs publics pour la création d’une ligne Kyōto-Hallennes restent sans réponse, une honte, je vous dis…). Bref, on s’en fout.

Je ne vais pas faire comme pour Templemars et me lancer dans le lisiting exhaustif des auteurs, vu qu’il y en a un paquet : pas loin de 80 ! En attendant qu’on les relâche le jour J, ils patientent au chaud ici.
Coucou prévu à ceux que j’ai déjà lus et croisés, chroniques à l’appui : Sophie Jomain (Les anges mordent aussi), Jess Kaan (Fissures Noires et Investigations avec un triton), Marc Falvo (Bloody Glove et Cavaliers de l’Orage), Petrosky (Je m’appelle Requiem et je t’…).
Dans la série “on m’en a parlé, mais je n’ai pas encore eu le temps de m’y plonger”, je suis curieux de jeter un œil aux travaux de Caldera (concours de tatouages en perspective), Hauchecorne, D’Huissier, Manunta, Behelle (croisée à Esquelbecq lors d’une table ronde), Katz, Tismaé (une compatriote picarde). Ainsi qu’Oksana, dont je maîtrise la filmographie sur le bout des doigts sans mauvais jeu de mot et beaucoup moins la biblio.
Vous pouvez commencer à trembler, j’arrive…
Un regret, “on” (elle se reconnaîtra) m’a fait saliver sur les bouquins et la personnalité haute en couleur de Morgane Caussarieu… qui ne sera pas là. Snif…
Quant aux autres, je ne vous oublie pas. Je ferai le maximum pour voir euh… le maximum d’entre vous dans le temps imparti (si possible en évitant les fautes de goût stylistiques comme cette répétition foireuse que j’ai la flemme de remplacer par “je ferai mon possible”).

(Addendum : le compte rendu du salon se trouve ici.)