Gwendy Peterson court pour perdre du poids.
Profitez bien de cette phrase, parce que la situation initiale est le seul moment du récit à avoir du sens.
Au terme de sa course, un type lui refile une boîte couverte de boutons et manettes permettant au choix d’obtenir une pièce d’argent, un chocolat succulent ou la fin du monde.
Là, tu te dis que le LSD se marie assez mal avec l’écriture d’une histoire qui tienne la route. Et tu as raison.
Perso, je cherche encore l’intérêt de se mettre à deux auteurs pour accoucher d’une historiette aussi faiblarde et aussi creuse. Parce que Gwendy et la boîte à boutons ne raconte
RIEN
DU
TOUT.
Gwendy et la boîte à boutons
Stephen King & Richard Chizmar
Keith Minnion (illustrations)
Le Livre de Poche