Un K à part sous les projecteurs d’Onirik

Aujourd’hui, la star de l’interview, c’est bibi et c’est pour le webzine Onirik sur le thème de la jeunesse éternelle et des Halliennales 2018.

Fred K interview Halliennales Onirik

L’interview a été menée par Valérie du webzine Onirik, que j’avais eu l’occasion de croiser à Envie de Livres (2017 et 2018) et aux Halliennales de l’an dernier. Elle a bravé tous les dangers pour me remettre son questionnaire. Je ne sais pas ce qui a été le pire pour elle, les dangers en question ou mes réponses…

Affiche Halliennales 2018 par Un K à part

Jeunesse éternelle aux Halliennales : Fred K
Par Val / Onirik

Le 6 octobre, allons tous en direction de Hallènes-Lez-Haubourdin pour la rencontre annuelle entre auteurs d’imaginaires et leurs lecteurs ! Avec en mise en bouche, un portrait Chtinois adapté. L’âme damnée des organisateurs, l’essence à la saveur puissante derrière les polars des Halliennales accepte de répondre à quelques questions, il s’agit de Fred K de Un K à part. Pour tout dire, il y a un avant et un après avoir découvert son blog… vous ne verrez plus la vie de la même manière.

La jeunesse éternelle, en voilà un thème qui inspire hommes comme femmes ! Les grands manitous des Halliennales vous invitent le 6 octobre à vivre dans l’imaginaire éternel de leurs auteurs-invités. Voilà donc un portrait Chtinois pour mieux les connaître, avant d’aller les saluer à Hallènes-Lez-Haubourdin !

Onirik : Si vous étiez un végétal ?

Fred K : : Un roseau. Pour pouvoir me moquer du chêne à côté, qui doit supporter des glands à longueur de journée.

Onirik : Si vous étiez un minéral ?

Fred K : Le troll Détritus dans Les Annales du Disque-Monde de Terry Pratchett. Parce qu’il utilise une baliste comme arbalète. Une B-A-L-I-S-T-E ! A côté, la pétoire de l’inspecteur Harry, c’est un jouet Kinder.

Onirik : Si vous étiez une éternité, laquelle ?

Fred K : Le temps. Comme ça je serai sûr de ne jamais en manquer.

Onirik : Si vous étiez un être immortel ?

Fred K : Mais c’est déjà le cas ! Je suis le rejeton d’un archimage elfe et d’une démone. En plus j’ai été mordu à la naissance par ma marraine fée quand elle s’est penchée sur mon berceau. C’est comme ça qu’on a su qu’elle était une vampirette. Je me retrouve immortel puissance 3, plus increvable qu’une carte de 1000 Bornes !

Onirik : Parmi le bestiaire de l’imaginaire, quel est l’immortel que vous aimeriez croquer (au sens propre et/ou figuré) ?

Fred K : La déesse de la tarte aux fraises. Je lui ai promis de dessiner son portrait. Je vais donc la croquer au sens “artistique” du terme (avec beaucoup de guillemets quand on connaît mon niveau en dessin…).

Onirik : Si vous étiez un plaisir que vous souhaiteriez éternel ?

Fred K : Vu que le résultat est un peu court pour le temps et les efforts qu’on y met, j’aurais bien dit l’orgasme, mais la réponse est déjà prise par l’ami Patrice Lesparre.
Réponse de rechange : comme j’ai des plaisirs simples, je dirais régner sur le monde jusqu’à la fin des temps (soit une vingtaine d’années en étant optimiste).

Onirik : Dans le mot jeunesse, il y a jeûne : y a t-il un aliment, un plat dont vous pourriez vous passez facilement ? Et un dont il n’est pas question qu’on vous en prive ?

Fred K : Des abominations telles que la confiture, la mayonnaise et la meringue devraient être interdites par la Convention de Genève. Des années que je milite en vain dans ce sens !
L’aliment pas touche, c’est la galette des rois. Déjà, parce que c’est bibi qui la cuisine, la galette. Ensuite, c’est le seul aliment que je partage, alors ce serait dommage de priver tout le monde en même temps que moi.

Onirik : Au contraire de ce qui est éternel, quelle est votre actualité toute fraîche durant les Halliennales ?

Fred K : Le plus frais dans mon actualité, ce sera mon rasage de la veille. Je sors le coupe-chou deux fois par an pour les grandes occasions, ça s’arrose !

Onirik : Que pouvez-vous dire aux visiteurs qui iront vous voir sur votre stand, vous voler (ou acheter !) une part d’éternité ?

Fred K : Je commencerai par leur demander comment ils ont trouvé mon stand vu que je n’en aurai pas. Paraît que les stands sont réservés aux auteurs, éditeurs et artisans… Alors que je ne fais que ça sur mon blog : j’écris, je m’édite et je photoshope. Un scandale ! Remboursez ! Ah ben non, je suis invité comme blogueur partenaire…
‘Fin bref, après des heures de négociations, bons princes, les organisateurs m’ont dit que je pouvais déambuler dans le salon parmi la foule : je serai mon propre stand mobile. A moi la liberté ! Ils sont cools, Gillio et Jomain, ils trouvent toujours une solution.
Ce que je dirai aux visiteurs qui réussiront à me mettre la main dessus : “Dans la vie, il y a trois règles :
1) Ne pas parler du fight club.
2) Ne pas croiser les effluves, c’est mal.
3) Ne jamais nourrir un mogwaï après minuit.”
Après j’improviserai selon qu’ils restent ou s’enfuient.

(Interview originale sur le site d’Onirik. Un grand merci à toi, Val !)

Publié le Catégories Fred K, Interviews

2 réflexions sur « Un K à part sous les projecteurs d’Onirik »

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